La Maison de l’Espoir de Mont-Joli célèbre son 20e anniversaire de fondation cette année.
Née d’une idée d’un groupe de gens qui avait à cœur la réhabilitation des personnes souffrant d’alcoolisme et de toxicomanie, cet organisme est devenu aujourd’hui un incontournable dans le secteur de la santé régional. Les services qui y sont dispensés vont de l’écoute de soutien à l’hébergement. On y offre des programmes intensifs de réadaptation et de désintoxication allant jusqu’au suivi post hébergement. La Maison de l’Espoir a connu des moments plus difficiles au plan financier. Aujourd’hui, la conjugaison du soutien émanant de l’Agence de santé et de services sociaux, de Centraide Bas-Saint-Laurent et des revenus générés par la Friperie Le Chiffonnier, font en sorte de rendre la situation beaucoup plus stable, d’expliquer la directrice générale, Anne-Marie Martel. Lors de la conférence de presse soulignant les vingt de la Maison de l’Espoir ce jeudi, le président du conseil d’administration, Mario Dionne, a rappelé les noms de ceux et celles qui ont fait partie du premier conseil, en débutant par le fondateur, Bertrand Gauthier, pour lequel une plaque commémorative a été dévoilée. On comptait également dans les rangs de ce conseil, Odette Harrison et son conjoint Jacques Verreault, Gilles Ross, Alida Fournier, Raymonde Saint-Amand et Régina Paradis. À l’aube de ses 20 ans, la Maison de l’Espoir peut prétendre à une qualité exceptionnelle de ses services grâce à l’implication de son personnel dévoué, des bénévoles et des membres du conseil d’administration, de conclure Mme Martel.