Un homme de 48, originaire de Saint-Damase, a fait irruption avec une arme à feu chez son ex-conjointe vers 18 heures hier. Le drame s’est déroulé sur la rue Saint-Joseph à Sayabec. L’homme en colère aurait proféré des menaces à l’endroit de son ex-femme. Celle-ci a toutefois pu s’échapper avec une de ses filles. Une autre de ses filles, majeure, serait demeurée sur les lieux pour tenter de raisonner son père. Appelés sur les lieux, les agents de la Sûreté du Québec du poste de la MRC de La Matapédia, ont tout d’abord procédé à l’évacuation des résidences environnantes et au confinement de la scène. Après être entré en contact avec l’individu, les négociations se sont entamées et se seraient poursuivies sur une période d’environ 50 minutes. Vers 20 heures, l’homme a choisi de se rendre volontairement et personne n’a été blessé.
Le suspect a été amené au poste de la Sûreté du Québec à Rimouski. Celui-ci devrait comparaître aujourd’hui à Matane sous des accusations d’agression armée, d’introduction par effraction et de menaces. D’autres accusations pourraient être portées contre lui le cas échéant.

Les enquêteurs de la Division des enquêtes sur les crimes contre la personne de la Sûreté du Québec sollicitent l’aide de la population afin de localiser un véhicule de marque Hyundai Accent qui pourrait se trouver à Montréal. Un témoin important dans une enquête portant sur deux morts suspectes survenues à Matane, les 2 et 4 décembre derniers, serait possiblement en possession de ce véhicule. L’automobile est de marque Description Hyundai Accent 2012, de couleur grise et son numéro d’immatriculation est le 269 YDL. Toute personne possédant des informations sur ce véhicule est priée de communiquer avec la Centrale de l’information criminelle au 1 800 659-4264.
À la Sûreté du Québec, on spécifie qu’on est à la recherche d’un témoin important et non d’un suspect. Rappelons que le dimanche 2 décembre, un citoyen a appelé les policiers pour signaler qu’il avait trouvé une personne inanimée dans une maison de chambre de la rue Desjardins, à Matane. La victime, un homme de 48 ans, était déjà décédée à l’arrivée des premiers secours. Puis, un second cadavre, cette fois celui d’un homme de 70 ans a été retrouvé dans son appartement de la rue D’Amours, toujours à Matane. L’enquête amorcée par les enquêteurs de la Division des enquêtes régionales Est, se poursuit en collaboration avec la Division des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec.

Un homme de 36 ans, originaire de Sainte-Jeanne-d’Arc, devra répondre d’accusations conduite avec les facultés affaiblies, de méfait, d’introduction par effraction et de vol, parmi d’autres chefs.
Le périple de l’homme a débuté vers 2 heures cette nuit (jeudi) lorsqu’il s’est vu expulsé d’un bar de Rimouski. Enragé, il serait revenu au volant de son automobile pour foncer plusieurs fois dans la façade de l’établissement. Heureusement, personne n’a été blessé. Le forcené a ensuite pris la route en direction de Mont-Joli. Arrivé à destination, il a alors défoncé la façade du Dépanneur Petro Canada du boulevard Gaboury, se servant encore une fois de son véhicule comme d’un bélier. L’individu est entré à l’intérieur pour voler des cigarettes et ensuite prendre la fuite. Il a été retracé peu de temps après par les patrouilleurs de la Sûreté du Québec. L’homme est actuellement et devrait comparaître aujourd’hui à Mont-Joli ou Rimouski.

La Sûreté du Québec, district du Bas-Saint-Laurent-Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, enquête présentement sur une mort suspecte survenue à Matane au cours de la fin de semaine.
Le dimanche 2 décembre, un citoyen a appelé les policiers pour signaler qu’il avait trouvé une personne inanimée dans une maison de chambre de la rue Desjardins, à Matane. La victime, un homme de 48 ans, était déjà décédée à l’arrivée des premiers secours. Une enquête a alors été amorcée par les enquêteurs de la Division des enquêtes régionales Est, qui travaillent conjointement avec la Division des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec dans ce dossier.
Le corps de la victime a été transféré au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale, situé à Montréal, afin de déterminer les causes exactes du décès.