Pour toutes sortes de raisons, ou peut-être pour aucune raison, je n’avais pas eu une seule petite discussion avec Liz Fortin de Sainte-Flavie depuis plus de huit mois.
La pandémie qui nous a littéralement effacé du monde réel et plongé dans un monde virtuel, l’été crevant - magnifique diront les mordus du soleil – et l’abandon par la force des choses de dizaines d’activités festives ont forcément placé sur « pause » certaines amitiés. Comme le virus ne s’installera pas à demeure, je le dis malgré tout ce que distillent les médias, j’ai suggéré à Liz, Lise avec un Z, comme Anne avec un E de la Maison aux pignons verts, que nous allions refaire les ponts lors d’un petit-déjeuner. À mes yeux, Liz Fortin n’est pas n’importe qui et je tiens à son amitié et à ses connaissances dans plusieurs domaines. Ainsi donc, je ne vais pas que lui consacrer d’ici à décembre un billet à la télévision communautaire mais échanger sur plusieurs dossiers auxquels elle apporte souvent sa généreuse et précieuse contribution.